Les années 70...le Continental Circus

[mjcharlie]

suite photos..... reconnaissez-vous ces 3 pilotes sur la 1ère photo en dessous ?

mjcharlie 

[mjcharlie]

la suite en images, bien sûr 

mjcharlie 

[mjcharlie]

suite..... photos...

mjcharlie 

[mjcharlie]

le Continental Circus....... c'était exactement ça..... voir les photos ci-dessous !

mjcharlie 

[David]

Quelle photo en double   

[STOK51]

LA SELLE AERODYNAMIQUE DE LA YAM USINE DE KATAYAMA EN TOLE D ALU RIVETE MORBIDELLI REPLICA !!!!!
SUPERBE  :lol:
QUAND AUX CAISSES A OUTIL DANS LE GAZON ET LE CAMPING SAUVAGE DANS LES PADDOCK C EST SUR QUE AUJOURD HUI  AVEC LES ESPACES VIP ET LES 3 SEMI REMORQUES MINIMUM POUR UNE MOTO ON A CHANGE DE PLANETE
C EST PEUT ETRE PLUS PROFESSIONNEL MAIS JE NE SAIS PAS SI LES SPECTATEURS S Y RETROUVENT ...

EN TOUT CAS LES VRAIS PASSIONNES AUJOUR DHUI SE CONTENTENT DE FAIRE LA QUEUE DANS UNE BOUSCULADE POUR AVOIR UNE PHOTO DEDICACEE A L ORDINATEUR BALANCEE DANS LA FOULE PAR UN ATTACHE DE PRESSE
ET COLLECTIONNENT LES ARTICLES DES MAGAZINES COMME CEUX DES ROCK STAR
QUELLE TRISTESSE  :-[
L HUMANITE NE S AMELIORE PAS

C EST POURQUOI JE PREFERE ALLER TRINQUER AU BOL CLASSIC OU AU MOTO TOUR AVEC MR RUIZ OU MR BOINET LEURS ANECDOTES SONT PLUS PITORESQUES QUE LES SORTIES EN HELICOPTERE DU  STAR PUB INTERNATIONAL ORGANISATION
AVEC UNE MENTION SPECIALE POUR LE MOTO TOUR CAR L ACCES AU PADOCK EST GRATUITE
LES DEMOS SONT GRATUITES
LES COURSES DE COTE SONT OUVERTES AU PUBLIC ET ILS SE DEPLACENT A TRAVERS LA FRANCE
QUE DEMANDER DE PLUS  :yes:
ET LES PILOTES NE SONT MEME PAS DOPES ....
ENFIN Y A EU DES BRUITS QUE CERTAINS AVAIENT TROUVES UN PETIT BLANC DU COTE DE SANCERRE ....
D AUTRE UNE BOISSON A BULLE DANS LA VILLE DE DEPART ....
ENFIN CA C EST PAS DU DOPAGE C EST DE LA CONVIVIALITE

A+
YVES  

[matchless]

Magnifique et quel changement entre la photo des 3 anglo-saxons et celle de Saarinen...arrivée de l'argent - un peu, de pilotages différents  - beaucoup et du passage à la couleur - pour les combinaisons et les sponsors

[mjcharlie]

@ David, lorsque j'ai mis mes photos en ligne, je me suis aperçue que celle de Jarno Saarinen était passée en double, je n'ai pas rêvé  même s'il était tard...... 

J'apprécie vos commentaires qui enrichissent mes textes et j'essaye d'être la plus précise possible 

Je pourrais aborder la partie technique des motos de l'époque mais il est souhaitable de créer une autre rubrique. Cela se fera dans le temps et vos précisions seront très appréciées pour compléter mes textes.


mjcharlie 

[David]

@ David, lorsque j'ai mis mes photos en ligne, je me suis aperçue que celle de Jarno Saarinen était passée en double, je n'ai pas rêvé  même s'il était tard...... 

C'est pas grave va, mais ceci dit tu es modératice de ta section, je suis donc etonné que tu ne puisses pas supprimer de toi-même les doublons photos, en fait tu as juste à cliquer sur "options complémentaires" et tu décoches les doublons 

[pierre92]

Magnifique et quel changement entre la photo des 3 anglo-saxons et celle de Saarinen...arrivée de l'argent - un peu, de pilotages différents  - beaucoup et du passage à la couleur - pour les combinaisons et les sponsors

C'est vrai mais la notion de fric n'avait pas tout "bouffé"" loin de là. ......le tournant décisif et malheureux se fera bien plutard....

[Steve Parter]

AVEC UNE MENTION SPECIALE POUR LE MOTO TOUR CAR L ACCES AU PADOCK EST GRATUITE
LES DEMOS SONT GRATUITES
LES COURSES DE COTE SONT OUVERTES AU PUBLIC ET ILS SE DEPLACENT A TRAVERS LA FRANCE
QUE DEMANDER DE PLUS 

pareil pour moi, les seuls grand prix qui me passionnent se passent en Belgique avec des Motos d'avant 1971 ...
c'est comme nous l'avons connu il y a quelques dizaines d'années, et les Pilotes ont un coeur et des cou....s énormes 
Tiens un petit peu de pub pour le site (que je gère) d'un pilote du moto tour et qui a terminé 5ième cette année, notre bidru !!! allez lui dire un petit bonjour, ça lui fera plaisir j'en suis sur 

[pierre92]

bravo STEVE;;;;;c'est bien ce site et ton équipe....visiblement joyeuse

[lespaul]

bravo STEVE;;;;;c'est bien ce site et ton équipe....visiblement joyeuse

Idem

[tchoummm]

  Bonjour à tous !

BRAVO pour cette rubrique !! Que de bons souvenirs ... 

[mjcharlie]

Continental Circus

Suite les Coulisses de l’Exploit – 3ème partie

Il est vrai que le pilote privé moyen « client » typique du Continental Circus, est généralement un homme assez démuni, qui aura besoin d’un commanditaire pour se procurer une moto d’un certain niveau. Cette espèce de mécènes n’est pas encore tout à fait éteinte, et le pilote vraiment courageux, acharné à réussir, finit presque toujours par trouver quelqu’un qui l’aidera à acheter la machine de ses rêves. Ses chances de victoire seront alors accrues, il bénéficiera de meilleurs engagements et pourra se déplacer d’une manière un peu plus confortable. Mais son genre de vie sera toujours celui de tous les autres membres du Circus.

La vie de ces hommes et de leurs familles se déroule dans le « parc coureurs » ou « paddock », espace réservé aux pilotes et à leurs engins que l’on trouve dans tous les circuits, généralement près des stands. Parfois, le parc est fort restreint et peu hospitalier, sans même un coin de verdure pour s’abriter du soleil. Dans cet espace limité, les pilotes vivent entassés les uns sur les autres. Mais il arrive aussi, par exemple à Assen, que le parc soit situé dans une zone de verdure accueillante, avec les équipements nécessaires pour que la vie y soit agréable.

Plus encore que les coureurs, ce sont leurs femmes qui créent l’animation de ces villages où la vie grouille, fébrile, intense et colorée. Tandis que leurs maris ou leurs fiancés sont plongés dans la révision éternellement recommencée de leurs engins, elles s’affairent pour tenir propre leur maison roulante, pour laver le linge et préparer les repas, qui ne sont jamais de simples pique-niques, mais de vrais repas pris autour d’une table dressée. Les compagnes anglaises, allemandes et françaises sont les plus efficaces dans ce type d’organisation ; les italiennes, à de rares exceptions près, préfèrent l’hôtel à la vie fatigante de la roulotte.

Il n’est pas rare de voir ces femmes donner même un coup de main pour de petits travaux de mécanique. Les bigoudis dans les cheveux, elles sont là pour faire chauffer le moteur, pour changer les bougies, pour passer les outils.

Lorsque le moment des essais officiels ou de la course approche, elles abandonnent leur rôle de maîtresse de maison et, chronomètre en main, elles mesurent les écarts et les marquent à la craie sur l’ardoise qu’elles brandissent tour par tour au passage de leur mari et poulain.

Contrairement à ce que l’on voit dans les courses automobiles, ces femmes ne sont pas dans les boxes pour faire un étalage vestimentaire, mais pour remplir avec sérieux et gravité leur rôle de collaboratrice. Puis, très simplement, elles retournent à leurs occupations ménagères.

Le dimanche soir, lorsque la course est finie, c’est la grande fête du Continental Circus. Les organisateurs, dans certains pays, offrent un grand repas au cours duquel les récompenses sont remises aux lauréats. Vainqueurs et vaincus fraternisent dans une ambiance de gaieté. Dans certains endroits comme à l’Ile de Man, le public paie un droit d’entrée pour assister à la cérémonie de remise des prix et réclame un discours des vainqueurs.

Tous ceux qui ont goûté à cette vie si particulière résistent difficilement à l’attrait qu’elle exerce, et on a vu des pilotes très célèbres comme Hailwood, Read, Saarinen, Lansivuori et beaucoup d’autres, préférer se mêler à des inconnus dans le parc des coureurs plutôt que de s’installer à l’hôtel.

Il est vrai que ces gens qui s’activent toute la journée autour des machines savent aussi prendre le temps de vivre il y a les moments de repos, l’heure du thé, la visite aux amis, les grandes tablées des Italiens autour d’énormes assiettes de spaghetti. Il y a aussi les petits faits de la vie courante qui créent des liens l’œuf ou le citron qu’on emprunte au voisin, le sparadrap qu’on vient vous demander pour le gamin qui s’est écorché le genou en faisant des pirouettes sur un vélo fièrement paré du numéro que portera son père en course.

C’est une sorte de monde à part, où règnent la solidarité et l’esprit de corps. Cet esprit de corps est peut-être encore plus vif chez les coureurs de side-car sans doute se serrent-ils davantage les coudes parce qu’ils sont une minorité dans la minorité.

Le jour qui suit la fin de la réunion, c’est le grand nettoyage général les motos sont astiquées, tout est mis en ordre, on prépare les bagages pour le départ vers le nouveau rendez-vous. Beaucoup s’acheminent vers cette prochaine étape par groupes de petites caravanes, qui font irrésistiblement penser à ces convois de roulottes du Far West américain en marche vers la «  terre promise ».

A l’instar de ces pionniers, les hommes du Continental Circus se rassemblent le soir autour du feu du bivouac, et peu importe si ce n’est plus un feu de bois mais un simple radiateur électrique. Le sens est le même esprit d’aventure, refus de la vie routinière. Tous sont animés d’un désir de conquête, mais beaucoup abandonneront en chemin, et seuls quelques élus parviendront à atteindre la ……. Californie de leurs rêves.


mjcharlie

[mjcharlie]

le Continental Circus, c'est aussi Jack Findlay, figure emblématique...... et tous les autres !

mjcharlie 

[mjcharlie]

des illustrations pour le plaisir des yeux et des oreilles.......  (imaginez que vous êtes sur le circuit à cette époque) 

mjcharlie 

[mjcharlie]

on continue pour le "Souvenir" et la nostalgie d'une époque ...... 

mjcharlie 

[matchless]

le dieter...c'est Mr DIETER BRAUN, Grand pilote teuton....qui essorait joyeusement la poignée des 250cc

[pierre92]

HA PHIL READ.. elle est très belle ces photos au Ricard......et Gérard CHOUKROUN.....avec sa bande de loufs qui écumaient Maisons Alfort et Alforville qu'ils avaient transformé en TT de la région parisienne...un type sympa, pas spectaculaire...tjrs avec un jet + visière.....

[exkawa]

que de souvenirs merci 

[matchless]

Choukroun, rougerie, husson et tous les autres... ils étaient joyeusement allumés...n'avaient pas toujours jamais les sponsors à la hauteur de leur talent et se débrouillaient comme ils pouvaient, se déplaçaient en Ford Transit...légèrement modifiés (Un moteur de Ford Capri 2600 RS remplaçant le moteur "poumon" d'origine) des freins adaptés et en avant...ils prenaient 200 sur les routes, les motos, les boites à outils et tout le toutim à l'arrière...et bien évidemment faisaient la course entre eux en se rendant sur les différents  circuits...et là c'était le premier qui freine est une lopette...le joe bar team en live! 

[pierre92]

Exact....c'était une joyeuse bande d'allumés...y faisaient des chronos dans les quartiers.....fallait voir les flics....LE VRAI JOE BAR TEAM.....fallait voir CA 

[matchless]

78 Championnat du monde à NOGARO...les petitres routes du gers et 2 transit " cote à cote ", les deux pilotes éclatés de rire, aucun des deux ne voulant lever le pieds...il me semble que c'était Gilles HUSSON & Gérard CHOUKROUN...

En prime une petite moto verte comme on peut les aimer...ici

[pierre92]

PUT1.....quelle belle époque ...tout était permis.....les flics que l'on pouvait enfumer...

[matchless]

Cela ce n'était pas difficile...le 2 temps était roi et si c'était mal règlé, ils étaient comme le saumon les bourres...fumés...enfumés...

[mjcharlie]

Suite Le Continental Circus

Le monde de la vitesse extrait du livre "La Moto" de son auteur Christian Lacombe***


Champion du monde de vitesse, voilà bien le titre le plus convoité, surtout parmi les pilotes de 500 cm3. Ce championnat, qui existe depuis 1949, comprenait à l’origine cinq catégories 125, 250, 350, 500 cm3 et side-car. ; il en compte six à partir de 1962, avec l’admission des 50 cm3.

Auparavant, avant la dernière guerre, il existait un championnat d’Europe qui acceptait les motos équipées d’un compresseur. En 1924, il y eut même une tentative de championnat du monde en une seule course sur le circuit de Monza, pour une catégorie unique, celle des 500 cm3.

Dans bien des sports, la vitesse est sans doute, le facteur d’attraction le plus populaire ; en cela, aucune exception bien sûr pour la moto des foules importantes se déplacent pour assister aux Grands Prix qui ont lieu dans toute l’Europe ainsi qu’en Amérique latine, d’où le titre usurpé de championnat du monde pour ce qui est en fait un championnat d’Europe auquel peuvent participer toutes les nations du monde. Une douzaine de GP ont lieu annuellement (leur nombre peut varier d’une année à l’autre) pour l’attribution du titre.

La saison débute en mars-avril et prend fin en septembre. Il arrive parfois que quatre, voire cinq GP se suivent à une semaine d’intervalle et dans des pays différents. Pilotes et mécaniciens doivent alors exécuter un marathon effréné dont ils se passeraient volontiers. Sur ce point, les réglementations des sports motos auraient un grand besoin d’assainissement. La majorité des pilotes et mécaniciens, y compris ceux d’usine, mènent en effet une existence de nomade dans des caravanes ou des motor-homes, car les hôtels ne sont pas toujours à proximité du circuit, et les voies d’accès souvent embouteillées. Le parc des coureurs, encore appelé Continental Circus, s’apparente ainsi à un vrai village ; il y manque le grand chapiteau, mais à vrai dire, la piste du circuit peut en tenir lieu.

Le Continental Circus est en tournée six à sept mois par an et, comme pour les gens du cirque, réunit toute une population, les professionnels, mais aussi leur famille femmes enfants, parents… Par chance, la majorité des pilotes sont encore célibataires, d’où les rassemblements de groupies locales lors des compétitions le GP de Finlande est surtout réputé pour son environnement féminin, sans lequel il y a bien longtemps que cette course, par ailleurs, inintéressante et dangereuse, aurait été boycottée et supprimée….

Ces pilotes, idolâtrés par les foules, ne sont pas pour autant des surhommes. Issus de milieux sociaux très différents, ils ont en commun le don du pilotage et la rage de vaincre, deux qualités pour ainsi dire innées. C’est ensuite que des motivations diverses forment des champions volonté de devenir ou de rester pilote d’usine, appât du gain, désir de battre tel ou tel concurrent, besoin de se prouver quelque chose, goût du vedettariat…

En fait, ces motivations sont aussi à la source de la fragilité des pilotes, ces mécaniques de précision souvent tributaires du grain de sable qui dérègle le tout et explique les hauts et bas d’une carrière.

De nos jours, la compétition coûte très cher. En 1981, le budget d’un pilote « privé » pour une saison de Grand Prix en 500 cm3, avoisinait les 250 000 F (entre 38 000 et 39 000 €uros) ; cette somme correspond à l’achat de la moto, aux pièces détachées que l’on doit changer fréquemment, au salaire du mécanicien, aux frais de voyage et à l’amortissement des véhicules (camion et caravane). En contrepartie, les pilotes engagés dans un grand prix sont assurés de toucher une prime de départ minimum, dont le montant est fixé à partir des résultats de l’année précédente ; s’ils finissent la course, ils ont par ailleurs droit à des primes d’arrivée calculées en fonction du classement. Mais il faut dire que, dans les GP, primes d’engagement et d’arrivée sont établies au plus juste, les organisateurs sachant que les pilotes sont pratiquement obligés d’accepter de courir sur leur circuit, alors que dans les courses internationales qui ont lieu en dehors des GP, les organisateurs doivent payer un maximum pour faire venir les têtes d’affiche. L’un dans l’autre, toujours dans la catégorie 500 cm3, on peut estimer à une quinzaine le nombre de pilotes qui vivent bien de la course. Les autres, approximativement une quinzaine aussi, tirent le diable par la queue. Dans les catégories inférieures, moins prestigieuses et auxquelles participent peu de pilotes d’usine, ces derniers sont deux fois plus nombreux que les premiers.

Depuis 1970, profitant eux aussi du regain d’intérêt pour la moto, les pilotes de GP ont vu leur niveau de vie grimper en flèche. Certes, le matériel est de plus en plus onéreux, mais une nouvelle masse monétaire a fait son apparition le sponsoring. A partir du moment ou l’on a commencé à parler de la moto dans les médias, elle est devenue un excellent support publicitaire. Les sommes investies dans ce domaine par les sponsors sont impressionnantes ; moins qu’en F1, certes…. mais si du jour au lendemain, le robinet était coupé, la situation des pilotes de GP deviendrait catastrophique. Les premiers à en souffrir seraient bien sûr les privés, dans la mesure où les pilotes d’usine restent assurés de toucher des gains honorables. Les usines passent en effet des contrats avec les pilotes de un ou deux ans, pouvant atteindre des chiffres pharamineux pour les grandes vedettes ; on a parlé de 500 millions de centimes en 1981 pour Freddy Spencer engagé chez Hond.a. En contrepartie, les pilotes d’usine sont tenus de participer aux GP et courses prévus dans le contrat, de les gagner bien sûr, d’effectuer de nombreux essais sur les motos de courses à l’étude et de participer aux opérations de promotion. C’est pourquoi tout pilote de course rêve de devenir pilote d’usine, ultime étape vers la gloire et la fortune.


Je vous parlerais des catégories dans un prochain chapitre.


mjcharlie 



*** Christian Lacombe est né en 1945, il fait connaissance avec la moto à l'âge de 16 ans. Coup de foudre immédiat pour ces deux roues motorisées qui lui ouvrent l'espace, l'air libre, le voyage, à une époque où la moto ne joue certes pas les vedettes. En 1966, il débute dans le journalisme et entre à la revue "Champion". Il y crée bientôt une rubrique moto qu'il dirigera jusqu'en 1974, date à laquelle, il devient rédacteur en chef adjoint de Moto Journal.....

[mjcharlie]

je vous montre les deux mondes de pilotes qui évoluent sur un circuit.... le "privé" et le "pilote d'usine".


mjcharlie 

[mjcharlie]

toujours quelques photos d'époque !!!

mjcharlie 

[pierre92]